Où vous situez-vous concernant votre consommation d’alcool?

Quelques statistiques: plus de 8 Québécois sur 10, âgés de 15 ans (c’est jeune!) et plus, consomment de l’alcool; 44% plus d’une fois par semaine, 39% à l’occasion et 17% n’en consomment jamais.

Pourquoi cet article? Et bien pour plusieurs raisons. Premièrement avec cette pandémie qui nous colle à la peau telle une sangsue, les gens déversent leur stress dans leur coupe de vin et en plus, avec la luminosité qui nous quittera sous peu, eh bien l’anxiété augmente.

Quand l’anxiété prend sa place avec toutes les inquiétudes et les scénarios de films que l’on s’imagine dans nos têtes, eh bien souvent l’humain a besoin d’une ‘béquille’ pour traverser cette période difficile.

Certains se jetteront dans leur travail, d’autres iront magasiner ou dépenseront en ligne. Pour d’autres ce sera des tranquillisants, de la drogue, du vin, du sexe. Il y a plusieurs moyens de ‘s’évader’ pour ne pas ressentir ce qui se passe à l’intérieur de nous alors nous choisissons de nous geler le cerveau pour ne pas entrer dans nos émotions, pour ne pas sentir, pour être ‘absent de notre présent’.  Nous voulons juste s’enfuir pour un temps déterminé, mettre ‘la switch à off’...

‘Maudite’ boisson

J’en parle et ce, ouvertement, car c’est une autre expérience de vie que j’ai connue. Donc c’est bien certain que je suis dans le non-jugement, plutôt que de vous questionner sur votre consommation.

De toute manière, si on se pose la question à savoir ‘si on boit trop‘, c’est qu’on boit trop. Vous avez répondu à votre question!

Si vous êtes en dépression, eh bien l’alcool n’aide aucunement votre situation. L’alcool est un ‘downer’, un dépressif donc qui augmente votre état, en plus de perturber votre sommeil, de couper votre appétit donc vous vous alimentez pas trop bien.

Étant consultante en burnout et dépression nerveuse, j’ai mis en place un programme d’accompagnement sur 4 mois, qui débutera dès Décembre. Je vous en reparle dans un autre article.

Vous voyez-vous là-dedans?

J’écris toujours une petite partie de mon vécu pour que vous puissiez me suivre et constater que je sais de quoi je parle ici, car j’ai vécu l’expérience. En anglais je dis toujours: ‘did it, been there, done that and got the t-shirt‘.

Alors lorsque j’ai divorcé après 20 ans de mariage et que j’ai du déménager de région, recommencé à travailler sans diplômes universitaires, vivre avec la culpabilité d’avoir ‘brisé la famille’ et bien laissez-moi vous dire que le Chardonnay est entré dans ma vie assez vite.

Je coupe sur les détails car c’est du passé, je suis fièrement sobre depuis plus de 3 ans, mais je comprends tellement ce que c’est de laisser une dépendance;  il faut le vivre pour comprendre et je vous comprends TELLEMENT, à vous qui vivez cette situation.

Parlons-en ouvertement, d’accord? Si vous admettez que oui, vous avez un problème d’alcool et bien bravo, vous en êtes conscient, c’est le premier pas vers la guérison.

Étant une personne qui a une très grande spiritualité (je parle pas de religion ici) et elle a sauvé ma vie, j’ai demandé à l’Univers pendant longtemps de ‘perdre le gout de l’alcool’, et je l’ai fait arriver. -Là est toute la différence-!

Différence entre sobriété et abstinence?

Alors lorsqu’on est sobre ou abstinent, l’alcool ne fait plus parti de notre vie mais il y a ce ‘mais’… Au tout début, on devient abstinent c’est-à-dire qu’on a cessé de boire et c’est le premier pas à faire, mais la personne ressent un malaise intérieur de vivre malgré l’abstinence. Exemple, lorsque l’été arrive et que les terrasses ouvrent et qu’elles sont bondées de belles personnes avec leurs lunettes fumées et les pichets de Sangria, de bière ou de vin, et bien ca leur fera vivre de l’anxiété, des peurs et des angoisses. Le fait d’aller en voyage dans un tout-inclus avec de la boisson dans le frigidaire sera comme de mettre le dessert-le-plus-gourmand devant quelqu’un qui est à la diète vous voyez?

Ces personnes ne boivent plus, elles sont abstinentes mais le travail n’est pas complété. Moi je suis sobre c’est à dire que je ne bois plus et à l’intérieur de moi, l’alcool n’a aucun effet sur mon mental. ‘Je n’ai plus soif, j’ai perdu le gout’, wow! Je me sens complètement libérée de ce liquide. Mon entourage peut boire devant moi et cela me fait un gros zéro effet, comme si je n’avais jamais bu, vraiment.

Cela faisait plus de 3 ans que je n’avais pas entré dans une SAQ et j’ai du y aller pour prendre justement quelques photos pour les insérer dans ce blog. C’était vraiment bizarre pour moi d’être là en ligne à attendre. Je cherchais le vin qui s’appelle ‘BONHEUR’ pour le prendre en photo car les 2 années ou(*) j’ai beaucoup bu et bien j’étais loin d’être dans le bonheur. (Il n’en restait plus donc j’ai pris en photo un vin qui s’appelle…RAVAGE), quand même, ca parle…

Six mois après que j’ai cessé de boire je partais passer les 2 semaines des Fêtes dans le sud, dans un beau tout-inclus. Plusieurs personnes aux AA me disaient ‘Michelle mais il y a de l’alcool dans les chambres, au resto, tout le monde boit à journée longue, elle est partout l’alcool bla bla bla’…’ Ces personnes parlaient d’eux, de leurs peurs! Ces personnes étaient abstinentes voyez-vous? Elles n’étaient pas sobres comme moi, là est la différence.

 

Petites questions pour vous

Je suis allée pour une courte période de temps aux AA, simplement parce que j’avais le besoin de m’exprimer, les gens y sont très humains. Voici quelques questions qui vient du questionnaire des AA, essayez d’être le plus honnête possible envers vous…

1. Avez-vous déjà résolu d’arrêter de boire pendant une semaine ou deux, sans pouvoir tenir plus que quelques jours? La plupart d’entre nous , membres des AA avons fait toutes sortes de promesses à nous-mêmes et à nos familles, sans pouvoir les tenir. Puis nous sommes venus aux AA, et on nous a dit :’ Essayez de ne pas boire aujourd’hui’.

2. Aimeriez-vous que les gens se mêlent de leurs affaires concernant votre façon de boire- qu’ils cessent de vous dire quoi faire? Chez les AA nous imposons rien à personne. Nous ne faisons que parler de notre propre consommation, des problèmes qu’elle nous a causés et de la manière dont nous avons arrêté de boire. Nous serons heureux de vous aider, si vous le décidez.

3. Avez-vous déjà changé de sorte de boisson dans l’espoir d’éviter de vous enivrer? Nous avons essayé toutes sortes de moyens. Nous avons pris des consommations moins fortes, seulement de la bière, aucun cocktail. Nous n’avons bu que les fins de semaine, nous avons tout essayé. Mais si nous buvions quoi que ce soit contenant de l’alcool, nous finissions généralement par nous enivrer.

4. Vous est-il arrivé au cours de la dernière année de devoir prendre un verre le matin pour vous lever? Avez-vous besoin d’un verre pour commencer la journée ou pour arrêter de trembler? Ceci est un signe presque infaillible que vous ne buvez pas ‘socialement’.

5. Enviez-vous les gens qui peuvent boire sans s’occasionner d’embêtement? Un jour ou l’autre, nous nous sommes presque tous demandé pourquoi nous n’étions pas comme la plupart des gens qui sont parfaitement capables de boire ou de s’abstenir.

6. Avez-vous eu des problèmes reliés à l’alcool au cours de la dernière année? Soyez honnête! Les médecins disent que si vous continuez à boire malgré un problème d’alcool, il s’aggravera- jamais il ne s’améliorera. Vous en mourrez, éventuellement, ou vous vous retrouverez dans une institution pour le restant de vos jours, le seul espoir est d’arrêter de boire.

7. Votre façon de boire a-t-elle causé des problèmes à la maison? Avant d’arriver au mouvement, la plupart d’entre nous disions que c’était les autres ou les problèmes à la maison qui nous faisaient boire. Nous ne pouvions pas comprendre que boire ne faisait qu’empirer les choses sans jamais rien résoudre, peu importent les circonstances.

8. Vous arrive-t-il, lors d’une soirée, d’essayer d’obtenir des consommations supplémentaires parce qu’on ne vous en donne pas suffisamment? Nous avions presque tous l’habitude d’en prendre ‘quelques-uns’ avant de partir, si nous pensions qu’on n’en servirait pas assez. Et si on ne remplissait pas les verres assez vite, on allait ailleurs pour boire davantage.

9. Vous dites que vous pouvez cesser de boire n’importe quand, même si vous continuez à vous enivrer malgré vous? Beaucoup d’entre nous se sont fait accroire qu’ils buvaient parce qu’ils le voulaient. Chez les AA, nous avons découvert qu’après avoir commencé à boire, nous ne pouvions plus arrêter.

10. Avez-vous manqué des journées de travail  ou d’école à cause de l’alcool? Beaucoup d’entre nous admettent maintenant qu’ils se sont souvent ‘déclarés malades’ alors qu’en réalité, ils avaient la ‘gueule de bois’ ou étaient en pleine cuite.

11. Avez-vous des trous de mémoire? Un trou de mémoire, c’est l’oubli de certaines heures ou journées passées à boire. Chez les AA, nous avons découvert que c’est un signe presque certain d’alcoolisme.

12. Avez-vous déjà eu l’impression que la vie serait plus belle si vous ne buviez pas? Bon nombre d’entre nous ont commencé à boire parce qu’ainsi, la vie paraissait plus belle, du moins pour un temps. À l’époque ou(*) nous sommes arrivés chez les AA, nous nous sentions pris au piège. Nous buvions pour vivre et nous vivions pour boire. Nous étions écœurés d’être écœurés.

*Si vous avez répondu OUI quatre fois ou plus, vous avez probablement un problème d’alcool.

Voici le lien des AA pour plus d’informations.

Solutions?

Je vous conseille fortement d’aller à une réunion AA, juste y aller, soyez ouvert…Et oui, vous avez honte, vous pensez que tout le monde va vous regarder et vous juger, et bien c’est tellement pas le cas. Je vous explique comment ca se passe pour que vous puissiez vous faire un ‘beau cadeau de vie’: Faire le premier pas…Si c’est au-dessus de vos forces, écrivez-moi et je vous aiderai à ‘désamorcer’ pour que vous puissiez vous donner la chance d’y aller.

Il y a des réunions dans toutes les villes et ce le matin, le midi et le soir. J’explique; Il y a 2 sortes de réunions, la première qui est un conférencier, un membre AA qui parle de son histoire et la deuxième qui est les minis-partages, mon choix à moi. Alors lorsqu’on arrive dans la salle, il y a toujours une personne attitré à accueillir les gens qui arrivent. Cette personne vous donnera la main et vous dira un ‘beau bonjour’. Il y a une table avec du mauvais-café-‘cheapette’ ainsi que des biscuits des années 70, je me sentais toujours chez ma grand-mère Rose-Alma que j’aimais beaucoup. P’tite idée: arrivez avec votre bon café Starbuck’s.

Bref les gens sont vraiment gentils et vous vous sentirez ‘pas seul’ du tout, on viendra vous saluer, vous demander votre nom. Les gens se connaissent donc les gens arrivent d’avance pour justement jaser avant le début donc lorsque de nouveaux visages arrivent et bien les personnes ont la gentillesse de vous accueillir, n’ayez crainte, ils ne mordent pas!

Les 10 premières minutes sont toujours pareilles, un rituel de la lecture des 12 étapes, tour à tour nous lisons une phrase, c’est tout. Ensuite ceux qui veulent, je dis bien ceux qui veulent car personne n’est obligé de parler d’accord? Ceux qui veulent peuvent prendre la parole pendant 2-3 mins sur ce qu’elle vit, tout simplement, que ce soit positif ou négatif. Ce sont de minis-partages et rien par rapport à l’alcool car tout le monde est sobre ou abstinent. Les gens racontent une anecdote de leur semaine, quelque chose qui les a emmené dans leurs ressentiments ou au contraire, un événement qui leur a fait vivre de la gratitude. À la fin les gens font la prière du ‘Notre Pere’ et c’est terminé, plusieurs restent là à placoter pendant un bon bout de temps, c’est très convivial, vraiment!

Petit bémol mais bon…

Je vous avertis d’avance pour ne pas que ça vous agace dès le départ et que vous soyez ‘fermé’ aux AA. Il y a une différence entre la religion et la spiritualité. Aux AA il y a souvent le mot ‘Dieu’ dans leurs discours et/ou lectures alors si ça vous agace, faites-en simplement abstraction d’accord? Ne vous arrêtez pas pour ce détail tout simplement…

Autre chose: Le fait qu’à chaque fois que nous voulons prendre la parole nous devons dire ‘Bonjour, Michelle alcoolique et dire ce que nous avons à dire…’. En tant qu’ancienne entraineur, lorsqu’une cliente obèse avait perdu le poids voulu, que c’était chose du passé, jamais je n’aurais toléré qu’elle se traite d’obèse comprenez-vous? Alors lorsque je suis allée chercher mon jeton d’un an, accompagné de mon conjoint et thérapeute, j’étais supposé dire: ‘Bonjour, Michelle alcoolique, prendre mon jeton et dire mon mini-speach’…Ben non! J’ai décidé de m’écouter et de sortir de la boite alors je me suis levé, j’ai pris le temps de regarder les gens dans les yeux en leur disant ‘Bonjour, je suis Michelle, FEMME EXTRAORDINAIRE, FEMME DE COEUR, et je suis excessivement fière d’honorer la personne que je suis malgré ‘les malgrés’. Je rends grâce à la vie pour la sobriété qui est le début d’une toute nouvelle vie pour moi. Merci pour votre belle écoute et votre support’.

Eh bien quelqu’un après mon ‘speech’ a osé me dire que je n’avais pas dis ‘Bonjour, Michelle alcoolique blablabla’ et bien je l’ai regardé intensément au plus profond de son âme en lui disant ‘Je suis SOBRE, j’ai fais mon travail alors il est inconcevable pour moi de me traiter d’alcoolique jusqu’à ma mort. Ce chapitre est clos pour moi, j’en débute un nouveau et il est merveilleux, je suis ailleurs..’.

Vous voyez? Alors faites abstractions. Certains ont besoin d’aller aux AA à tous les jours, oui! Certains toute leur vie alors ces personnes sont abstinentes et non sobres. J’y suis allée que quelques mois et c’était pour parler de la culpabilité lors des minis-partages.

ENVOYEZ UNE INTENTION À L’UNIVERS : CELLE D’ÊTRE SOBRE, DE PERDRE LE GOUT DE L’ALCOOL. Et soyez doux envers vous, très doux. Tout part de vous, à l’intérieur de vous, croyez-moi, j’en suis libérée à 100% et c’est Divin!

Soyez le changement! Votre vie débutera lorsque vous cesserez de boire.

Saviez-vous que vous buvez 90% de vos émotions et que 10% d’alcool?

Moi je sais très bien la raison qui a fait que j’ai commencé à boire lors du divorce: la culpabilité! Bang! J’avais besoin ‘de me geler les émotions pour rien ressentir tellement que je souffrais‘. Et vous, qu’est-ce qui vous mange par en-dedans?

Centres de désintox

Même si cette phase a duré 2 ans comparativement à des années et des années pour plusieurs personnes, je sentais que je glissais sur une mauvaise pente car ce n’étais pas dans mes habitudes.

Je suis allée et ce dès le début de ma ‘chute’, au Centre Péladeau à Sainte-Agathe. Oui je laisse le lien car c’est un endroit merveilleux, avec des femmes tout à fait extraordinaires! Elles ont toutes connues l’alcool et/ou drogue, que ce soit la personne à l’accueil, la secrétaire, cuisinière.

Elles savent c’est quoi de vivre avec cette dépendance, elles l’ont vécu. J’étais estomaquée par leur chaleur humaine, leur gentillesse. J’étais arrivé le 31 Octobre, l’Halloween et c’est Lucie, déguisée en jolie Mini Mouse qui m’avait accueillie, trop trop cute!!! Un beau 3 semaines nourri-logé avec d’excellents repas!

Tout le monde engraissait, trop drôle. À la pause, nous avions des mégas galettes d’avoine, à genre 1000 calories, sucrées et délicieuses pour nous donner le sucre que nous avions plus qui est dans la boisson-:) L’eau citronnée pour dégorger le pauvre foie qui en peut plus de boire.

Autre statistique: seulement 1% des personnes qui entrent en désintox pour 3 semaines ne rechuteront pas! Ce qui veut dire malheureusement que les rechutes font parti du processus de vouloir accéder à la sobriété. Je ne suis pas négative ici loin de là, car j’ai été dans cette statistique. J’ai ‘rechuté’ 3 mois après, et oui! Ça fait parti de la ‘game’. Vous rechutez? Et bien vous vous relevez et continuez votre route. Vous rechutez encore? Et bien vous vous relevez encore une fois, jusqu’à ce que vous arriviez à la sobriété, yes! C’est un processus, oui çà peut être long, je l’ai vécu, mais c’est POSSIBLE ET ACCESSIBLE d’accord? -Vous êtes le changement- J’en ai vécu des rechutes, même si tout mon entourage me jugeait, je savais au plus profond de mes tripes que ce n’était qu’une question de temps, j’en avais la CERTITUDE.

Il y a aussi le Centre Le Portage qui est reconnu mondialement et qui est à Prévost, au bord du lac Écho, de toute beauté! Celui-ci par contre est d’une durée de 6 mois et accueille les adultes et les adolescents.

Imaginez… six mois à ne pas boire. Déjà là c’est un grand pas de fait. Et on vous apprend à revivre complètement, dans les moindres détails. J’étais allée le visiter pour un jeune adolescent que je ‘marraine’ mais qui n’est pas encore ‘prêt’ à faire le saut. Ça doit venir de soi, pas de la famille. Vous devez vous-mêmes, vouloir entrer en désintox, car vous êtes juste plus capable de vivre ainsi, constamment ‘le jour de la marmotte’ en vous disant ‘ah demain j’arrête’…et c’est ainsi pendant des semaines, des années.

Essayez une petite réunion aux AA avec votre-café-de-luxe-Starbuck-et-votre-biscotti. Donnez-vous une chance, vous le valez bien!

Le film avec Meg Ryan ‘Pour L’amour d’une Femme’ est très touchant. C’est une super-maman qui est alcoolique. Il est très bien fait. Si vous vivez un problème d’alcool, vous vous reconnaîtrez dans ce film. Peut-être qu’il réveillera en vous un petit quelque chose pour entamer le premier pas. ‘Soyez le changement’.

Si vous êtes aux prises avec cette ‘maudite dépendance’ qui est en train de vous détruire, ainsi que vos enfants qui en souffrent en cachette, mais n’avez personne dans votre entourage qui comprend la situation, encore une fois, écrivez-moi au : [email protected]

Ne restez pas isolé.

De tout coeur,

Michelle

PS: Je vous incite à vous procurer mon magazine ‘RENDEZ-VOUS AVEC MOI’ qui raconte mon histoire et partage aussi de belles citations positives et inspirantes. Cela pourrait fortement vous apporter du soutien, du réconfort et de la Lumière. Prenez soin de vous.

 

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